Vive la déco !

J’ai mal aux pieds.

Pourquoi ? Eh bien c’est très simple, cher lectorat : c’est parce que j’ai passé la journée à faire les magasins avec ma mère pour acheter tous les trucs « pré-allemagne ». Ce qui m’a réduit les pieds en compote.

 

 

Exactement, Ron-Ron

 

 

Bon, c’est pas non plus comme si j’allais me plaindre, faire les boutiques avec sa mère, c’est quand même plutôt très cooll en général.

 

J’ai été raisonnable du début… à la moitié.

Parce qu’au fil de nos aventures pérégrinations, j’ai dû affronter la tentation ULTIME.

 

Le magasin de déco trop kawaii 

 

C’est le genre de magasin qui te paraît banal, jusqu’à ce que tu y pénètres. (cette phrase n’a pas de sous-entendu sexuel)

 

Et là, c’est le drame (pour ton porte-monnaie)

 

Parce que tout, TOUT y est adorable.

Sans rire, j’ai dû faire moins de 5 mètres avant de tomber amoureuse d’un cadre photo (lui)

 

Cet endroit est sûrement sous l’emprise d’un sortilège quelconque, je ne vois aucune autre explication. Il te transforme en Valérie Damidot et tu termines comme ça :

 

Paillettes comprises

 

Donc au final je suis sortie avec ça :

Je sais pas comment ça s’appelle, donc pour l’instant c’est la « Maison de la bougie ». (Me critique pas, seul dieu peut me juger wsh)

 

Ça :

 

Pour peupler la Maison de la bougie. Ouais j’ai pris le pack « famille nombreuse »

 

Et ça (dont je parlais ci-très-au-dessus) :

 

Vive les piou-pious !

 

Et vous savez quoi ? Je n’ai aucun regret !

 

 

J – 5

J - 5

Sublime, n’est-ce pas ?

Je m’ennuie alors je commence à décorer mon « Journal de bord » (ouais je sais le nom craint du boudin mais j’ai pas encore trouvé mieux). J’écrirais tout ce que je fais dedans histoire de rien oublier et je collerais plein plein de photos ! (sauf si ça tombe à l’eau parce que j’oublie…)   J’ai aussi commencé à faire l’inventaire de mes fringues pour savoir si j’avais tout ce qu’il me fallait (et je me suis rendue compte que je n’avais plus AUCUN collant étant donné que j’ai tout filé, félicitations) avant de faire la valise mercredi

Info en passant !

Coucou !

Petit poste rapide pour vous dire que je vais partir en Allemagne pendant 3 mois (à partir du 26) et que j’en profiterais pour partager mon quotidien à choucroute land (♥).

 

Là !

Là !

 

 

Il faudra vous attendre à une déferlante de posts sur les valises, les familles d’accueil et les bretzels, donc.

Récap’ du voyage : C’est un échange que je fais avec ma coress originaire de Neubrandenburg (elle s’appelle Lisa). Je vais vivre chez elle de mai à juillet et je vais aussi aller en cours là-bas (mais j’ai demandé à être en 3e pour survivre).

 

Je vais essayer de faire une résumé de ce que je vis toutes les semaines (ou pas parce que je suis très organisée, la fréquence de mes posts en témoigne). En attendant… Tschüss ! ♥

Les « Oui mais non » de la vie quotidienne

Souvent, j’ai l’impression d’être la personne la plus indécise de cette pauvre planète Terre.

Nan, sérieusement. J’ai toujours de grandes idées incroyables pour me faciliter la vie mais je suis en général trop feignante pour les appliquer. La flemme, le fléau de ce siècle.

 

 

« Mais vas-y Meurise t’es trop débiiiiiiiiiiileee »

 

J’ai donc décidé de dresser ouné pitité liste excusez moi pour cet accent nul des « oui mais non » les plus fréquents chez moi :

 

La socialisation ou le syndrome du « je veux voir des gens mais je veux pas bouger mes fesses »

 

… Et je sais très bien que je ne suis pas la seule, n’est-ce pas ? On est tellement bien, posé dans son lit en pyjama, avec un café, du miam-miam et un bouquin/un ordi… Le paradis !

Oui, comme ça, exactement !

Oui, comme ça, exactement !

Quand, soudainement, un importun t’interromps dans ton extase suprême

« On sort ? » / « Tu viens chez moi ? »

Moment. Nul.

Et là dans mon cerveau, c’est un peu comme un débat politique :

« – Cool, je vais la voir !

– Mouais mais t’es bien, là, maintenant. On pourrait pas faire ça plus tard ?

– Hum… Laisse moi réfléchir… Non. Moi pas envie bouger. Moi chaud. Lit douillet. Moi vouloir rester.

– Allez bouge toi on dirait une larveuuh !

Nan j’veux pas.

– Oh que si tu vas y aller ça te fera du bien

– Hmmm ok je finis mon café, je lis encore 1 -2 (3,4,5,6) chapitres, je me change et j’y vais.

– Arrêête j’te connais si tu fais ça tu partiras jamais ! »

Et à ce moment y a deux options :

Soit je me lève tout de suite, je me prépare et j’y vais ;

Soit je reste là à me dire que « j’y vais dans dix minutes » mais en fait je bouge pas et je pars en retard.

Sauf que le retard n’est pas vraiment un indicateur fiable chez moi, étant donné que même si je pars me préparer direct je serais en retard quand même.

Cet exemple marche aussi pour le boulot que j’ai pas envie de faire

Le shopping ou « la déception à l’état pur »

Moi = Sukko. Au début seulement..

Moi = Sukko. Mais au début seulement..

En général, tu rentres dans le magasin toute frétillante et heureuse, tu te promènes entre les fringues en les touchant machinalement comme si elles t’appartenaient toutes, même celles qui te font saigner des yeux (arrêtez, vous le faites aussi).

Franchement, le shopping c’est le meilleur moyen de se remonter le moral après une journée-semaine nulle. Et aussi le meilleur moyen de devenir pauvre à cause d’achats compulsifs, mais j’y reviendrais plus tard.

Donc tu te promènes tranquilouquilou et, soudain, tu trouves ton bonheur. LE truc qui manquait à ta vie.

Tu t’avances vers la merveille en question (comme les amoureux qui courent bêtement au ralenti sur la plage) et tu t’élances l’essayer.

Et c’est là que la galère -que dis-je ? L’enfer !- commence.

• Premièrement, la queue pour aller dans les cabines est tellement longue qu’on dirait que la ville entière s’est donné rendez-vous pour l’évènement.

• Deuxièmement, quand tu rentres enfin dans la cabine, tu fais face à un énorme miroir qui te montre à quel point tu devrais te remettre au sport et tu ne peux pas t’empêcher de te scruter pendant que tu te déshabilles, ce qui donne un bon coup de pied dans le postérieur de ton égo déjà défraîchi par, je le rappelle, la semaine nulle que tu viens de passer.

• Troisièmement, quand tu portes ton coup de coeur vestimentaire, celui-ci prends soudain un malin plaisir à devenir moche. Juste parce qu’il est sur toi. 

« Diantre ! C’était mieux en vitrine… »

Tu ressors donc, dépitée, déprimée et toute moche (enfin, c’est l’impression que toute cette histoire t’as donnée), parce que tu t’es soudain rendue compte que la merveille en question n’est pas si géniale finalement. La matière gratte, la couleur ne te vas pas, tu sais pas avec quoi tu pourrais la mettre et en plus t’as pas assez de sous. Nul.

 

Baby =(

 

 

L’épilation ou « l’hésitation du poil »

 

Comme la plupart des filles, je m’épile. Et comme la plupart des filles, je ne le fais pas par plaisir. Ça, c’est pas vraiment une surprise.

Seulement, je suis constamment en train de faire face au même dilemme :

a) Soit je m’épile pas, je met un jean et c’est tout parce que lol j’ai la flemme

b) Soit je m’épile et je m’enferme 30min à 1h dans la salle de bain pour souffrir un coup.

 

Souvent c’est a). Surtout en hiver, faut pas déconner non plus.

 

A toutes les personnes qui pensent qu'on est parfaitement épilées toute l'année

A toutes les personnes qui pensent qu’on est parfaitement épilées toute l’année, sachez que je me gausse de vous.

Ne croyez pas que je n’aime pas les jupes ou les robes, j’adore ça ! J’en achète tout le temps, et j’aime en porter mais, comme j’ai la flemme de m’épiler, je me prive de ce plaisir. GreuhGreuhGreuh. 

 

 

 

 

Malgré tout ça, je me dis qu’un jour je guérirais de cette flemmingite aiguë. Pas aujourd’hui.

En attendant, dites-moi, c’est quoi vos « oui mais non » persos ? 

La féminité, cette grosse arnaque.

Tout d’abord, demandons à notre fidèle ami wikipédia de nous définir tout ça :

La féminité est l’ensemble des caractères morphologiques psychologiques et comportementaux associés aux femmes. Ils sont biologiquement liés au sexe et fortement influencés, voire conditionnés par l’environnement socioculturel. Ils sont exclusifs et différencient les femmes des hommes qui eux possèdent des caractères masculins. Dans l’usage, la part des caractères socioculturels de la féminité constitue un modèle que l’on nomme l’« identité sexuelle».

On peut aussi la définir comme suit : La féminité est l’ensemble des comportements, des attitudes, auxquels on attribue le qualificatif de féminin. Si elle prédomine chez les femmes, elle existe aussi chez les hommes. Son lien au sexe est moins évident qu’il n’y parait. La réduire à une identité sexuelle semble réductrice dans notre société actuelle.

Mouais.

J’ai longtemps pensé qu’être une femme ne dépendait que du facteur physiologique mais, dans notre société où tout passe par l’apparence, on peut se poser la question… (et en plus c’est complètement faux si on prends en compte la question des transsexuels, mais j’y reviendrais plus tard).

Alors, être une femme c’est quoi ? Avoir les cheveux longs, sentir bon et ne jamais, ô grand jamais, posséder la moindre pilosité? (Voyons, une femme avec des poils, mais où va le monde,  je vous le demande ?!)

La féminité dans l’enfance

Quand on allume la télé et qu’on jette un coup d’oeil aux dessins animés/pubs destinés aux petites filles on voit :

  • Des princesses, des fées
  • Du rose, beaucoup de rose
  • Du poney, parce que les poney c’est trop cool
  • Et.. ça :

Bon, si on passe les poses bizarres du genre :

"Avez-vous vu mon fessier ? N'est-il point admirable ?"

« Avez-vous vu mon fessier ? N’est-il point admirable ? »

… Et le maquillage douteux (non non jeune fille, se maquiller comme ça n’est pas recommandé, c’est pas parce que tu seras au lycée que tu seras obligée de faire pareil, pitié), ça va encore.

Mais bon, les princesses c’est sympa mais passer sa vie à croupir dans une tour (sans internet, l’horreur) et à attendre qu’un gars qu’on ne connaît ABSOLUMENT PAS rentre par effraction chez nous, nous ramène sur son cheval et nous épouse pour ensuite avoir pour but de faire la reine des abeilles (= pondre un maximum d’héritiers et les élever) jusqu’à notre mort, avouez que c’est :

1) Glauque.

2) Pas vraiment le genre de vie qui me fait rêver, personnellement.

Mais tout ça c’est mignon comme tout comparé aux jeux.

Nan mais je plaisante pas, vous n’avez qu’à taper « jeux pour filles » dans Google pour voir s’offrir à vous un univers ludique ROSE (avoue, tu t’y attendais pas à celle là) et très très TRES varié (<- ironie) Alors en gros y a : des jeux où tu habilles une nana avec un sourire légèrement niais, des jeux où tu la maquilles, des jeux où tu la coiffe, ou alors tout ça avec des animaux (car, oui, il est possible de faire une manucure à un poney), des jeux de cuisine, des jeux de drague (..gné ?), de baby-sitting etc etc…
Pitié quoi.

Donc, si on résume ce avec quoi on nous bombarde depuis l’enfance, les femmes sont des créatures ROSES, qui aiment la nature, font la cuisine, passent 90% de leur temps à soigner leur apparence, à penser à l’homme de leur vie (bah oui, parce que c’est forcément un homme), à l’attendre et à s’occuper d’enfants.

Pas besoin d’aller à Folleville pour replonger au Moyen-Âge, donc.

Micro-trottoir sans trottoir (on a pas les moyens)

Meurise s’est lancée pour vous dans un reportage, a interviewé sesamisfacebook et leur a posé ZE question :

« Pour toi, c’est quoi la féminité ? »

Et voilà ce qu’on m’a répondu :

« Classe physiquement (Mode) et Mature/Elles sont bien fringué et plus mature, tolérante que les mecs pour la plupart »

« Et bien je pense à une fille/ femme avec des cheveux long, avec un peu de maquillage. Les habits je ne sais pas trop je ne regarde pas trop ça en fait.. Sinon je pense aussi à une fille/ femme pas trop imposante ( poids ). Avec des chaussures à petit talon, j’aime pas ceux qui sont long.. Ensuite moralement, je dirais câline, sensible mais avec un peu de caractère. Débrouillarde, vrai pipelette »

« Je sais pas trop tout dépends de la vision des gens moralement j’en est aucune idée et physiquement ont associe souvent a la jupe ou robe. » « 

« Son maquillage, la longueur de ses cheveux, sa coiffure.. »

« Le physique c’est vague… Une femme pourrait être fine comme énorme on saurait que c’est une femme mais comment on le sait physiquement… Sinon les vêtements, je dois t’avouer que j’y connais rien à la mode, tu regardes dans ton armoire et voilà ( LES ROBES *-* ) sinon la manière de marcher, rouler du cul ! »

« Difficile à dire. En tout cas je pense pas à décolleté-talon. Non mais.. Je sais pas trop, c’est compliqué. Pour moi, par ex, Bernard-Thérèse* est féminine. Sa façon d’être, de marcher, de s’habiller est féminine ^^ »

*Non, je ne crois pas que ce prénom existe, c’est juste pour éviter de citer de vraies personnes

Ce qui revient le plus c’est : les vêtements, le maquillage, la coiffure, la manière de marcher (+ certains traits de caractère mais comme ça vient d’une seule personne je ne peux pas me baser dessus).

Donc, apparemment, les principes qu’on nous as inculqués dès l’enfance s’appliquent plutôt bien.

Parce qu’être féminine, c’est surtout s’imposer les normes de beauté actuelles.

Et c’est pour ça que je pousse une gueulante.

C’est pas parce qu’on est des femmes qu’on est obligées de sentir le printemps même après le sport.
C’est pas parce qu’on est des femmes qu’on sait faire la cuisine, qu’on est des accro du shopping, qu’on passe notre temps devant le miroir pour nous maquiller/coiffer.

Tout le temps qu’on gaspille à cause de notre apparence, on le gaspille pour coller au rôle qu’on nous a donné dès l’enfance.

« Sois belle et tais-toi »

Bien sûr, il y a des femmes qui sont passionnées par la cuisine, bien sûr qu’il y en a qui détestent ça. Nous sommes toutes différentes, toutes femmes à notre manière.

La féminité n’existe pas. Il n’y a pas de critères qui nous définissent plus ou moins femmes  qu’une autre.

Une femme est une femme.

Et ça s’applique aussi aux hommes qui se définissent comme femmes, ils le sont tout autant que nous.

L’identité sexuelle est tellement plus complexe qu’un tas de normes et de critères à respecter pour ne pas être ostracisés, on devrait l’avoir déjà compris depuis des années.
Cette identité ne dépends ni de notre morphologie, ni de notre façon de parler, de nous habiller, de notre coiffure, du fait que l’on se maquille ou non…

Nous sommes femmes car nous l’avons décidé ainsi. Nous sommes femmes car nous nous identifions ainsi. Pas parce que la société l’a décidé ou non.

Hunger Games ~ Catching Fireeeeee !

Après de longs, très longs mois d’attente durant lesquels j’ai bavé devant les photos des acteurs (Sam Caflinnn *.*), j’ai écouté Atlas à outrance, regardé les bandes-annonces en boucle et fait la fangirl sur Tumblr comme jamais, Hunger Games : Catching Fire est finalement au ciné. Et au moment où le film sort ENFIN en salles, j’ai eu le droit à une série de rebondissement dont je me serais bien passée, tous dignes d’une saison de Plus Belle La Vie (non, c’est vraiment pas flatteur).

Image

DONC, après 2 semaines de retard, je l’ai vu. Et, oh mon dieu, je n’en suis pas revenue ! Comme le premier film était parfait à tout point de vue, j’avais un peu peur que le deuxième soit un peu en dessous. EH BIEN NON ! IL EST MÊME MEILLEUR ! (meilleur que la perfection, vous vous rendez compte ? Allez, danse de la joie !)

 

Détail insignifiant : Cette fois, ils ont décidé de tourner sans la caméra à l’épaule.. J’aimais bien cette idée dans le premier mais c’est vrai que, cette fois, le scénario ne tournait pas qu’autour de la survie. C’est donc un bon choix, mais je suis triste quand même parce que je l’aimais bien moi :(

D’ailleurs, en parlant du scénario ! Il est parfaitement bien adapté par rapport au livre, (*tousse*PAS COMME HARRY POTTER*tousse*) et certains dialogues étaient parfois exactement comme les originaux. Amen. ♥

Jennifer Lawrence (Katniss) est juste parfaite, comme d’habitude, tout comme Josh  Hutcherson (Peeta) et tout le reste du cast ! Mention spéciale pour Jena Malone (Johanna) qui a su capturer l’esprit de son personnage exactement comme je l’imaginais :keurkeurkeursurelle♥:

Ce film est absolument parfait. Allez le voir si vous ne l’avez pas vu, je vous en supplie. Et LISEZ LES LIVRES, il faut toujours lire les livre avant de regarder l’adaptation ! (<- règle absolue)

I See Fire ~ The Hobbit (ost)

Depuis que j’ai vu le premier film, je trépigne d’impatience pour le deuxième.. Et maintenant qu’il est sorti et que tout le monde (sauf moi, pauvre petite chose que je suis) l’a vu, tout ce que j’attends c’est de pouvoir ENFIN le voir et pouvoir retrouver ma chère Terre Du Milieu (parce que je suis officiellement un Hobbit, j’en ai toutes les caractéristiques physiques. Sauf les pieds couverts de poils, ça se serait très très moche..)

Et comme je dois encore patienter, je me suis lancée à la recherche des ost et je me suis retrouvée face à cette merveille :

http://www.youtube.com/watch?v=phJo1E94Yk8

Oui, Ed Sheeran et le Hobbit fusionnés. Non vous ne rêvez pas. Je sais, la vie est merveilleuse. Personnellement, elle passe en boucle chez moi depuis hier soir et je ne m’en lasse pas ! 

Tolkien, Jackson et Ed : je vous aime ♥